Ah le candaulisme, cette pratique sexuelle dans laquelle on ressent une excitation en partageant son partenaire à un ou plusieurs personnes. Cette pratique que j’adore pratiquer, mais qui semble ne pas plaire du tout à ma femme pourtant grande fan du BDSM. Nous deux adorons la rencontre BDSM, mais elle préfère les plaisirs solitaires chacun de son côté. Elle est si réticente à l’idée que je prenne mon plaisir en l’observant se faire prendre pas quelqu’un d’autres. Mais dernièrement elle a exprimé le désir de se faire baiser par un maître dominant pour explorer selon elle d’autres sensations.
J’ai donc posté cette annonce sur un site spécial de rencontre BDSM et j’espère trouver le maître parfait pour soumettre cette petite salope à mes envies. Je crois que cela s’inscrit également dans son désir de nouvelle sensation.
Avec comme illustration à mon annonce de rencontre BDSM une photo ultra sexy de ma femme en lingerie fine, j’ai eu un maître dans l’heure qui suit. Après discussion, une rencontre a été convenue et ma femme, toute excitée d’explorer de nouvelles choses m’a donné son consentement pour venir avec elle et observer cette fois ci.
C’est sa façon de se protéger, mais c’est une pêche qu’elle me tend et je compte bien la saisie. Le maître BDSM que nous avons contacté à donner des consignes.
Ma femme devait se vêtir d’une nuisette en cuir et en dentelle et porter un collier en laisse. En bonne soumise, elle s’est apprêtée comme exigée et nous nous sommes rendus dans l’appartement de ce maître. À peine entré, le charisme de celui-ci nous a hypnotisées.
Ma femme ne pouvait détacher le regard de cet homme en polo, pantalon et chaussé d’une belle paire de chaussures italienne. Après m’avoir invité à m’installer dans un fauteuil en face d’une balançoire, il ordonna à ma femme d’enlever son manteau. Celle-ci s’exécuta, laissant apparaître son magnifique corps à moitié nue que l’excitation avait rougir par endroit.
Le maître sourit et lui ordonna de s’assoir sur la balançoire sexuelle. Il sortit une corde et lui fit un bondage les mains dans le dos, ligoté à la balançoire, le cul en l’air.
Devant mes yeux, confortablement assis pour ne pas perdre une miette du spectacle, je vis celui-ci sortir un paddle. Il asséna une fessée retentissant à ma femme tout en la faisant balancer sur cette balançoire.
Ce petit manège dura un petit instant et il s’arrêta quand les fesses de mon épouse deviennent écorchées. Elle se pencha à l’avant haletant. Il sortit une poche de glaçons.
Il lui demanda d’une voix autoritaire si elle voulait qu’il la soulage ? Elle répondait oui. Il lui dit alors suce moi !
En se mettant devant elle, il sortit sa queue et la lui fourra dans la bouche. Elle s’y appliqua.
Une fois sa bite rendu dur par la fellation, il appliqua les glaçons sur ses fesses. Au même moment, il introduit deux doigts dans son intimité.
Mon épouse sursauta de surprise et le soulagement mélangé à la pénétration brusque la fit jouir sur le coup. Il retira la poche de glaçons et lui claqua les fesses avec ses grosses mains. Elle gémit de douleur. Il retira le bout de ficelle qui couvrait encore une partie de la chatte dégoulinante de mouille de mon épouse et s’introduisit en elle d’une seule traite.
Il était assez imposant et ceci fit hurler ma femme malgré sa grande lubrification. L’attrapant fortement à la hanche, il entreprit de lui labourer l’intimité allant de plus en plus fort et s’enfonçant jusqu’à la garde. La pièce ne résonnait que de cris et de gémissements de ma femme qui coulait des larmes chaudes à la merci du chevauchement endiablée que lui faisait subit son maître.
En la faisant balancer ainsi sur sa bite, mon épouse ne tarda pas à jouir environ 10 minute après envoyant un jet de cyprine sur lui. Loin de l’arrêter, il continua de plus belle, il prit plaisir à la baiser encore une trentaine de minutes multipliant ses orgasmes et la visant complètement de toutes ses forces avant de remplir sa chatte de sperme. Il la détacha et elle s’écroula par terre.
D’une voix grave il lui demanda alors satisfaite, tu aimes bien quand ton mari regarde avouez-le. Oui, oui, murmura mon épouse, j’aime bien. Il rigola et se rendit à la douche, nous laissant, ma femme couchée là par terre haletant et croulant de sommeil et moi assis me délectant de la master class que je venais de suivre.
Cette rencontre BDSM fut le premier d’une longue série de rencontre et celui qui permit à ma femme d’accepter mon candaulisme. Elle se fit prendre encore de nombreuses fois devant moi et parfois, j’y participais, là défonçant avec un autre homme. Je ne remercierais jamais assez ce maître d’exception.