Mélanie, François et le cocu au restaurant

Mélanie, François et le cocu au restaurant

Après de nombreux échanges d’emails et de photos, nous avions finalement décidé de rencontrer François. Rencontré sur un site de rencontre pour libertins et candaulistes, François était âgé de 46 ans. Il s’est présenté comme Maitre, dominateur et spécialiste du SM soft.

Nos différentes conversations à 3 nous avaient données envie de vérifier si François était aussi doué et pervers que ce qu’il laissait paraître à travers nos échanges. Nous devions nous retrouver dans un restaurant, en plein centre-ville, réputé pour la finesse de ses mets et son quartier touristique, ce qui allait nous facilité la tâche pour trouver une bonne chambre d’hôtel par la suite.

Comme nous n’habitions pas la même ville, nous étions arrivés le matin même, et nous en avions profité pour faire du shopping. J’avais offert à Mélanie, un ensemble porte-jarretelle noir, des bas noirs et un soutien-gorge en dentelle, effet push-up, qui avait une ouverture au niveau des tétons. Nos achats réglés, Mélanie s’est précipitée vers les cabines d’essayage pour porter sa nouvelle lingerie sexy et surprendre son futur amant, François.

Pour l’occasion, Mélanie a décidé de porter une robe classique, rose pâle, qui soulignait son bronzage. Sage d’apparence, cette robe se boutonnait devant avec un décolleté plongeant qui dévoilait partiellement son nouveau soutien-gorge en dentelle. En plus, elle n’a pas boutonné sa robe jusqu’en bas. Chaque pas qu’elle faisait dévoilait ses cuisses qui paraissaient plus fuselées grâce à ses hauts talons aiguilles.

Ce jour-là, j’étais surpris que Mélanie ose se vêtir de la sorte. Habituellement, elle déteste être provoquante en public. Mais c’était bien l’idée de François et l’une de ses conditions pour continuer l’aventure.

Arrivés au restaurant, j’ai aperçu un sourire de plaisir illuminer le visage de notre hôte lorsque nous nous approchions de sa table. Mon cœur battait la chamade et j’avais du mal à respirer. Je lui tendis la main en me présentant. Mélanie en fait de même, ce que François n’a pas vraiment aimé.

« Tu vas être ma femme aujourd’hui Mélanie ! Un baiser s’impose….Elle est bien ma femme, n’est-ce pas ? Cocu », dit François. Dès cet instant, le décor était bien planté. Il était sûr de lui. Un mâle dominant et dominateur qui demandait à ses proies de s’incliner devant sa force.

« Pardonnez-moi, mon doux maitre », balbutia Mélanie.

Elle avança ses lèvres vers sa bouche. Il les aspira immédiatement avec les siennes. Elle se laissa complétement aller. François nous demanda, ensuite, de prendre place. Mélanie s’asseye à sa gauche sur la banquette et moi en face sur une chaise. Un serveur arrive à notre table et nous distribue les menus.

En habitué des lieux, François commente les plats proposés et nous donne quelques conseils. En même temps, sa main se pose sur la cuisse de sa voisine et la caresse. Elle sursauta en fermant les yeux. Le menu n’a plus d’importance. Plus sa main remonte, plus je voyais l’excitation se dessiner sur le visage de Mélanie. De plus en plus curieux, François arrive sur la chatte de ma femme. Elle écarte les jambes et me fixe du regard. Ses doigts vont immédiatement sur le renflement caché par le string.

J’ai compris la situation : Mélanie sera Sienne cette nuit.

Les plats se suivent aussi délicats qu’exquis. Les vins sont en harmonie avec chaque plat, amenant le plaisir charnel à son apogée. En attendant le dessert, François découvrit que le string de Mélanie est fendu au milieu. Mélanie a bien respecté ses directives et il était ravi.

Doucement, elle se pencha en avant alors que l’un des doigts de François pénétra en elle. Il aperçoit, alors, au fond de son décolleté ses tétons qui pointaient, sortant des trous du soutien-gorge en dentelle. Le doigt se fait le plus inquisiteur, et Mélanie, la bouche ouverte émit un « oh oui !» au même moment où le serveur amena les desserts. Elle rougit et tenta de cacher la main de son amant par sa serviette en se penchant plus en avant. Le serveur matte dans son décolleté mais ne dit rien.

– « Le repas est excellent. Madame y prend beaucoup de plaisir. N’est-ce pas chérie ? Remercie le monsieur qui l’a servi. », dit François à Mélanie.

– « Ce n’est pas nécessaire », bafouille le serveur

– « J’insiste. Ma femme va vous le dire »

À ce moment, François retira ses doigts de la chatte de ma femme et pinça son clitoris jusqu’à ce qu’elle gémit à voix basse, en regardant le serveur. Nous avons, alors, vu une belle bosse déformer son pantalon. Il s’empressa de partir.

– « Ne contestes plus mes ordres », dit François à voix haute. Mélanie baisse les yeux en signe de soumission.

Le repas fini, nous quittons le restaurant. François sort en la tenant par la taille comme si c’était lui son mari. Je fermais la marche en les regardant impuissant mais tellement excité.

FIN

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